Publié le 30 Avril 2020

Septembre 2012

Septembre 2012

Carambar est arrivé dans la vie de notre association le 16 octobre 2003. Il venait du hameau de la Roncière( Fontenay-les-Briis).  Les personnes chez qui il était né avaient bien accepté de reprendre sa mère après que nous l'ayons faite stériliser et identifier mais n'ont pas voulu de lui, ni de Berlingot qui l'accompagnait. 

 

Ces deux jeunes chats étaient des sauvageons qu'il n'a jamais été possible de proposer à l'adoption. Il a fallu plusieurs années avant que Carambar ne se laisse caresser. 

Avec Iphigénie avril 2015 ..... avec Chipie, Bouillotte et Cathy janvier 2019.... Carambar avec Nougat
Avec Iphigénie avril 2015 ..... avec Chipie, Bouillotte et Cathy janvier 2019.... Carambar avec Nougat
Avec Iphigénie avril 2015 ..... avec Chipie, Bouillotte et Cathy janvier 2019.... Carambar avec Nougat

Avec Iphigénie avril 2015 ..... avec Chipie, Bouillotte et Cathy janvier 2019.... Carambar avec Nougat

Dans un récent article, je vous ai raconté l'intervention  chirurgicale qu'il avait subie :

Le 21 février 2020 notre vétérinaire s'est déclaré très satisfait en examinant la cicatrice de son opération qui s'est révélée un succès. Carambar allait bien, son oreille ne coulait plus. Certes notre chat me semblait un peu maigre mais, le vétérinaire l'a fait remarquer, à 18 ans il n'est pas rare qu'un chat ait perdu du poids. Le souci ce n'était plus Carambar mais Joker avec son rein énorme.... 

 

Quand j'apportais les plateaux de nourriture dans la chatterie Carambar était le premier à se précipiter pour - me semblait-il - manger ! Pourtant il restait maigre. 

 

Il y a quelques jours sa joue, ses pattes étaient sales. J'ai essayé de le laver avec du shampoing pour chat. Les taches brunâtres ont résisté. Avait-il gratté la terre ? N'était-ce pas du sang séché qui le maculait ainsi ?  Hier matin, inquiète, j'ai appelé notre vétérinaire qui m'a proposé de le déposer à la clinique. En repartant je ne savais pas que je ne reverrais pas Carambar. 

 

En rentrant à la maison j'ai constaté que j'avais déjà reçu un appel de la clinique... c'était forcément une mauvaise nouvelle.  Ce dont souffrait Carambar, c'était un cancer de la langue.  S'il se précipitait sur les gamelles de nourriture c'est qu'il avait faim ! Il ne mangeait probablement pas car il devait souffrir et moi je n'ai rien vu ! 

 

Il n'y avait pas à réfléchir sur la conduite à tenir. Notre Carambar avait été anesthésié pour l'examiner ; il fallait faire en sorte qu'il ne se réveille pas. C'est ce qui fut fait. Lui non plus, je ne l'oublierai pas. 

Rédigé par Monique

Publié le 28 Avril 2020

Récemment, au cours d'un entretien avec la Direction du C.H. de Bligny, la Société Vitakraft a appris que des chats vivaient dans le parc de l'établissement.

 

Spontanément le responsable de la Société a offert d'aider à nourrir ces chats. C'est ainsi que... Raymonde et moi, sommes allées au siège de la Société à Bruyères le Chatel... oui...oui, nous avions nos Attestations de déplacement en règle ! 

Quand VITAKRAFT nous offre quelque chose pour nos chats, ça se résume à ça... 

sièges rabattus dans ma voiture... et...
sièges rabattus dans ma voiture... et...

sièges rabattus dans ma voiture... et...

sièges rabattus dans la voiture de Raymonde
sièges rabattus dans la voiture de Raymonde

sièges rabattus dans la voiture de Raymonde

Evidemment, ouvrir les petits coeurs qui renferment 85 gr de patée, terrine, aliment en sauce, en gelée au poulet, au poisson, au gibier, à la dinde.... ça prend du temps quand il faut préparer les gamelles pour plusieurs dizaines de chats mais ON VA PAS SE PLAINDRE !!  En plus des gamelles bien garnies les chats peuvent aussi lécher soigneusement les petits coeurs pour qu'ils soient bien propres avant d'être déposés dans la poubelle jaune !

 

Un grand MERCI pour la générosité dont a fait preuve VITAKRAFT. 

 

P.S. si vous chats n'ont pas encore eu la chance de goûter à "Poésie", j'en suis désolée pour eux. 

Rédigé par Monique/Raymonde

Publié le 21 Avril 2020

11 avril 2020... encore quelques jours de patience

11 avril 2020... encore quelques jours de patience

JOKER a été opéré le 1er avril... Jeudi 16 avril il sera débarrassé de ses fils. 

21 avril notre Joker a retrouvé les plaisirs du jardin, il va bien...
21 avril notre Joker a retrouvé les plaisirs du jardin, il va bien...

21 avril notre Joker a retrouvé les plaisirs du jardin, il va bien...

Les résultats de la biopsie qui a été effectuée après deux prélèvements, un à l'intérieur de sa bouche et l'autre sur le rein prélevé ne sont pas vraiment une surprise. LYMPHOME MALIN RÉNAL. 

JOKER... dernières nouvelles
JOKER... dernières nouvelles

De l'avis de notre vétérinaire, l'examen immunohistochimique conseillé pour détermination du typage ne servirait pas à grand chose. Bien entendu nous nous en tiendrons à cet avis. Les dernièrs dosages "Urée/créatinine" étaient très satisfaisants. 

 

Ce qui compte aujourd'hui c'est de voir notre Joker réclamer des caresses et les petites douceurs qu'il apprécie le plus : ALMO nature au poulet !  Il reçoit ce qu'il demande. JOKER est avec nous depuis 5 ans et je forme des voeux pour qu'il puisse bénéficier de la vie que nous lui avons offerte pour longtemps encore. 

 

Dans quelque temps il retournera chez nos vétérinaires pour un nouveau dosage et un examen radiographique des poumons afin de vérifier l'absence de métastases.  Je veux croire que tout ira bien... Nous l'aimons notre Joker. 

Rédigé par Monique

Publié le 20 Avril 2020

Isabella et Olympe qui ne sont plus des chatons,  ont eu la chance de séduire une famille dans laquelle elles s'épanouissent... 

Nos adoptées HEUREUSES !
Nos adoptées HEUREUSES !

<<Ci jointes, quelques photos des mascottes. Jusqu'à présent tout va bien, comme vous pouvez le constater la famille s'est agrandie depuis que ces deux "doudou" (miss douceur et grosse doudou) consolent jour après jour, nos cœurs tristes d'avoir perdu en quelques mois Nouméa et Nylia,. >>

Et voici les dernières photos reçues qui démontrent à quel point elles se sentent chez elles...

Pas trop stressée la belle Isabella ...
Pas trop stressée la belle Isabella ...

Pas trop stressée la belle Isabella ...

Chuttt ne réveillez pas la chatte qui dort
Chuttt ne réveillez pas la chatte qui dort

Chuttt ne réveillez pas la chatte qui dort

MERCI à Mathilde et à sa famille qui ont ainsi ouvert leur maison et leurs coeurs à nos deux jolies chattes. 

Rédigé par Monique/Mathilde

Publié le 19 Avril 2020

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE... Reportée !

Ce n'est une surprise pour personne, la réunion de notre Assemblée Générale initialement prévue le 25 avril 2020 doit être reportée. Pour la troisième année, la Direction du C.H. de Bligny avait mis une salle à notre disposition. 

 

Aujourd'hui cet établissement hospitalier qui a organisé l'accueil de patients atteints du coronavirus est fermé au public. Nous ignorons si notre Assemblée générale pourra s'y réunir à une date ultérieure.  Notre petite équipe de nourrisseurs des chats du parc s'y rend avec l'autorisation de la Direction ; les chats ne souffrent pas de cette situation si angoissante. 

 

Comme nous vous l'avons déjà indiqué, les informations sur la tenue de notre réunion seront communiquées sur ce blog. Nos Adhérents et amis qui ont reçu notre convocation "papier" et qui n'ont pas de connexion Internet disposent de deux N° de téléphone pour se renseigner s'ils souhaitent nous faire l'amitié de leur présence. 

 

En attendant le plaisir de nous retrouver tous en bonne santé, nous ne pouvons que vous recommander la prudence et la patience... 

Rédigé par Monique

Publié le 17 Avril 2020

Octobre 2017... tout juste recueilli

Octobre 2017... tout juste recueilli

Souvenez vous .... 

Notre vœu s’est réalisé le 9 mars 2020 quand celui ci est parti, accompagné de son frère d’adoption Pepito, dans une gentille famille avec deux enfants.

Après un moment d’adaptation, le temps des ronronnements est arrivé.

Pepito et Nemo dans leur nouveau foyer

Pepito et Nemo dans leur nouveau foyer

Nemo est un ‘pot de colle’ mais il est aussi très caractériel.

Il a besoin d’être cadré car il ronchonne souvent.

Il a vite compris que sa famille n’en avait pas l‘habitude : un coup de griffe sur la petite, un refus virulent de quitter le clavier d’ordinateur de Monsieur et une attaque en bonne et due forme sur Madame.

 

Retour en famille d’accueil 15 jours plus tard pour le beau Nemo qui a d’ailleurs fait rapidement comprendre son mécontentement d’avoir été "bourlingué" par des feulements intempestifs à notre encontre.

 

Le soir même, au moment de distribuer la pitance aux 17 chats accueillis ici, il a trouvé que ça n’allait pas assez vite et a pris son élan toutes griffes dehors pour me sauter dessus.

 

Une tape sur le derrière et un recadrage virulent, Nemo le "cabochard" fait carpette, tête et oreilles basses, à mes pieds.

 

Depuis les attaques ont cessé et Nemo a repris sa vie tranquille emplie de câlins, de promenades dans le jardin et de parties de jeux avec ses congénères.

 

Lors des ronchonnements, un doigt levé et une intonation haute le canalisent de suite.

Nous voici donc dotés d’un chat à vie, sauf si quelqu’un veut adopter un chat revanchard ?

NEMO est beau mais...
NEMO un chat avec lequel on ne risque pas de s'ennuyer.

NEMO un chat avec lequel on ne risque pas de s'ennuyer.

Rédigé par Laurence

Publié dans #A ADOPTER

Publié le 15 Avril 2020

Voici l'écrin dans lequel nos chats vivent en paix depuis les trente dernières années, grâce à qui ?? 

 

A NOTRE ASSOCIATION BIEN SÛR ! 

 

Au début de ce mois d'avril, généreusement le C.H. de Bligny a ouvert ses portes pour accueillir des malades atteints par le Coronavirus pour lesquels il n'y avait plus de place à Paris.

 

Dans son émission Sept à Huit, des 2 et 3 avril, Harry Roselmack nous a présenté le personnel qui adapte les locaux, qui repousse les murs dans un effort commun pour réussir l'accueil ce ces patients. 

 

Ces deux reportages sont probablement encore visibles sur MyTF1 en replay. 

Les Amis des Chats de Bligny, d'aventure en aventure. 

 

C'est au printemps 1990 que j'ai appris que des chats, initialement abandonnés dans le parc de cet hôpital y étaient empoisonnés quand ils s'étaient reproduits en trop grand nombre. On peut imaginer que les bagarres liées à leur reproduction, l'odeur forte de l'urine des mâles non castrés, avaient de quoi indisposer les patients et la Direction de l'établissement. 

 

Oui mais la Loi n'autorisait pas leur destruction de cette manière cruelle. Légalement ces chats auraient dû être capturés et conduits en fourrière pour y être récupérés par un éventuel propriétaire. 

 

Depuis février 1986 on ne plaisantait pas avec les animaux errants. Le département était officiellement déclaré contaminé de rage : Ci dessous extrait d'un article paru dans "Le Républicain le 15 mai 1986, signé par mon ami Christian Porte. 

 

Les animaux payaient un lourd tribut à l'apparition de cette terrible épizootie. Les renards étaient pourchassés et exterminés sans pitié : 

<<La préfecture de l'Essonne  communique cet extrait de l'arrêté préfectoral n° 86-1200 du 16 avril 1986 relatif à la lutte contre la rage et à la destruction des renards : 

Afin d'enrayer  l'épizootie de rage, des opérations de destruction des renards  doivent être réalisées  sur les terrains de toutes natures du département.

Les propriétaires, possesseurs ou fermiers de terrains, à l'exception des terrains bâtis, cours et jardins attenant  à des habitations et les titulaires du droit de chasse, sont tenus de permettre l'accès à ces terrains aux fonctionnaires et agents des services désignés par l'autorité administrative, aux lieutenants de Louveterie , aux gardes de l'ONF ainsi qu'aux personnes chargées d'effectuer ces destructions ou d'en contrôler l'exécution. 

Ces opérations  de destruction peuvent être réalisées  de jour ou de nuit , y compris par temps de neige et comportent, notamment, le tir au fusil, le gazage des terriers et le déterrage.

Il est précisé, en outre, que les demandes d'intervention  doivent être adressées en mairie. >

Le Républicain  du 15-5-86

 

 

Depuis 1983 j'étais "entrée en protection animale" en rejoignant  l'ARPA (Association Rissoise de Protection des Animaux). Les chats que j'avais trouvés dans mon jardin en venant habiter l'Essonne étaient stérilisés, tatoués et vaccinés contre tout, y compris la rage pour les protéger contre cette maladie qui était réapparue dans Est de notre pays depuis quelques années. 

 

Très vite je m'étais émue en apprenant que les animaux errants conduits en fourrière y étaient systématiquement euthanasiés à moins d'être réclamés par leur propriétaire qui n'avait pas l'obligation d'avoir fait vacciner son animal contre la rage, cette vaccination n'étant pas obligatoire.

 

Je m'étais rapprochée de l'Institut Pasteur pour tenter de comprendre les raisons de cette obligation d'euthanasier les animaux errants. 

 

Cette réponse m'a été faite lors d'un entretien téléphonique

Je n'ai rien négligé pour comprendre cette épizootie, j'ai lu tout ce qui me tombait sous la main ; un ami m'a offert le livre le plus complet qui soit, un cadeau magnifique  :

J'en ai fait mon livre de chevet.
J'en ai fait mon livre de chevet.

J'en ai fait mon livre de chevet.

Dans le but de convaincre les propriétaires d'animaux de les faire identifier et vacciner contre la rage, j'avais rédigé un article destiné aux Adhérents de l'ARPA : <<La RAGE : une réalité qui ne doit pas faire peur>>. Pour être sûre que j' avais "tout bon", j'avais soumis mon texte au Docteur J. Blancou, Directeur du CENTRE D'ÉTUDES SUR LA RAGE ET LA PATHOLOGIE DES ANIMAUX SAUVAGES à Malzéville (54220). 

 

Après plusieurs échanges de courrier en novembre et décembre 1986 mes idées sur le sujet étaient devenues assez claires. 

Aussi au printemps 1990 j'ai compris qu'il ne serait pas facile de faire admettre à la Direction du C.H. de Bligny que les méthodes employées depuis la création de cet établissement -à l'origine un sanatorium- pour régler le problème de la surpopulation féline n'étaient pas les bonnes.  Je devais affûter sérieusement mes arguments. Il faut se souvenir que le département était toujours contaminé de rage depuis quatre ans. Capturer un animal "errant" pour le stériliser, l'identifier et le vacciner contre la rage avant de le relâcher était formellement interdit. Les proposer à l'adoption était également interdit. 

En 1987 j'avais intégré le Conseil d'administration de la Confédération Nationale -à l'époque des SPA de France - devenue "Défense de l'animal".  C'est sur le papier a en-tête de la Confédération que je rédigeai le courrier de demande de rendez-vous au Directeur de l'hôpital de Bligny.  La personne qui m'avait alertée m'avait bien recommandé de ne pas la citer car nourrir les chats sur le site était aussi interdit, des sanctions étaient prévues pour les contrevenants. 

 

Clairement le médecin Directeur et le Directeur administratif m'assénèrent toutes les objections possibles. D'ailleurs la décision finale appartiendrait, précisèrent-ils, au Président de l'association gestionnaire du Centre médical de Bligny. 

 

Dans les jours suivants je préparai un dossier aussi complet que possible pour répondre à toutes les objections qui m'avaient été faites. 

 

En parallèle je pris rendez-vous avec la Directrice des Services Vétérinaires de l'époque (maintenant DDPP). Sans surprise je l'entendis me rappeler la rage... les interdictions...la Loi... Je mis en avant les résultats satisfaisants de la vaccination des renards par voie orale : mon projet étant de constituer une barrière sanitaire contre la rage directement inspirée de l'action des DSV en faveur des renards. Vous l'avez compris, depuis quatre ans j'avais mémorisé tous les arguments pour convaincre du bien fondé de l'action de sauvegarde des chats que je souhaitais entreprendre. Il valait mieux stériliser les chats, les vacciner contre la rage plutôt que de laisser proliférer des animaux non vaccinés entre deux déchatisations. 

 

A bout d'arguments, la Directrice me fit comprendre que son accord était tacite et qu'elle ferait connaître discrètement sa position au Directeur du C.M. de Bligny. 

 

Informé de mon projet, le Docteur vétérinaire Raymond Hugonnet  (conseiller général du Canton de Limours de 1982 à 1993). me rendit visite pour tenter de me dissuader : <<Mon projet insensé nour ferait courrir un grave danger, de plus tatouer les chats ne servirait à rien car un tatouage dans l'oreille s'efface en quelques années....>>

 

Au mois de juillet 1990 notre association fut créée. La première chatte capturée fut appelée VICTOIRE

Victoire à son arrivée  et après quelques mois de convalescence
Victoire à son arrivée  et après quelques mois de convalescence

Victoire à son arrivée et après quelques mois de convalescence

Première niche/cantine que nous avons eu l'autorisation d'installer, tombée en morceaux après 15 ans

Première niche/cantine que nous avons eu l'autorisation d'installer, tombée en morceaux après 15 ans

Les jeunes générations de protectrices qui s'occupent de nos jours des chats "du dehors" n'ont, pour la plupart, pas connaissance des difficultés que nous, les "pionniers" avons connues et surmontées. 

 

Aujourd'hui elles connaissent d'autres obstacles : le confinement !  Le découragement face à tous les inconscients qui continuent de laisser venir au monde des chatons en surnombre. Les actes de cruauté commis envers ces chats dont la vie est déjà si précaire. Il faut être jeune et pleine d'enthousiasme pour ne pas baisser les bras. 

 

Bien que le C.H. de Bligny soit fermé aux visiteurs, les nourrisseurs des chats du parc ont reçu l'autorisation de poursuivre leurs tournées car le Directeur est une personne généreuse qui comprend les besoins des chats. 

 

Après la naissance de notre association, il aura fallu attendre encore six ans avant que le département de l'Essonne ne soit déclaré indemne de rage ... tout n'est pas devenu beaucoup plus simple pour autant. Le délai de garde en fourrière fut porté, au plan national, à cinquante jours !! Une folie dénoncée par l'ensemble de la protection animale. 

 

Mais ça c'est une autre histoire !

Rédigé par Monique

Publié le 3 Avril 2020

 

Nous vous l'avIons annoncé, JOKER devait subir l'ablation d'un rein.  C'est chose faite depuis le 1er avril. 

 

Le 22 février nous avons publié les radios pratiquées par nos vétérinaires, qui montraient l'hypertrophie de ce rein. 

 

A peine réveillé notre chat a commencé à faire des câlins à la vétérinaire qui a réalisé l'intervention, et aux infirmières. Il n'a pas tardé à réclamer de quoi manger. 

 

Il ne reste plus qu'à attendre le résultat de l'analyse qui va être réalisée en laboratoire et espérer...  La bonne nouvelle du jour : il a bon appétit et il sort de clinique aujourd'hui en fin d'après-midi. 

Comment vous dire ?

 

 J'aime ce chat depuis le jour où j'ai vu sa photo dans un petit box de fourrière au mois de septembre 2014. Il était annoncé porteur du FIV... Qui allait vouloir se charger de lui ? 

Il ne demande pas grand chose : des câlins et une bonne gamelle...
Il ne demande pas grand chose : des câlins et une bonne gamelle...

Il ne demande pas grand chose : des câlins et une bonne gamelle...

MERCI à la belle équipe de Morsang-sur-Orge qui prend si bien soin de nos chats depuis... toujours ! 

Rédigé par Monique