Publié le 26 Janvier 2018

ORPHELINS cherchent familles de cœur

Voici des minous devenus orphelins depuis le décès de leur protectrice à Savigny/orge qui les avaient fait stériliser.

 

Qui pourrait leur offrir un panier retraite et/ou des soins avec convalescence si nécessaire. La maison de leur protectrice va être condamnée et eux avec. Les placer par 2 serait l'idéal.

 

Merci de parler d'eux autour de vous si vous ne pouvez vous-même leur offrir une chance.

 

Si vous désirez entrer en contact avec Sylvie B.  qui a lancé cet appel sur Facebook, laissez nous un message. 

 

ORPHELINS cherchent familles de cœur
ORPHELINS cherchent familles de cœur
ORPHELINS cherchent familles de cœur

Rédigé par Monique

Publié le 17 Janvier 2018

Flash back

Aller de l'avant, c'est bien mais il est parfois intéressant de regarder en arrière pour mesurer le chemin parcouru.

En 1999, notre outil de communication, c'était "La Lettre", publication trimestrielle de six pages, destinée à nos Adhérents abonnés. 

Souvenir... souvenir...

<<Ne croyez vous pas qu'il serait temps que les Elus Essonniens cessent de prétendre s'intéresser aux animaux....>>

<<Ne croyez vous pas qu'il serait temps que les Elus Essonniens cessent de prétendre s'intéresser aux animaux....>>

<<(...) je vais saisir le Président du Conseil général et les Elus du District ...>>

<<(...) je vais saisir le Président du Conseil général et les Elus du District ...>>

On allait voir ce qu'on allait voir ! Chacun sera placé devant ses responsabilités. 

DIX HUIT ANS PLUS TARD, qu'est-ce qui a changé ? RIEN. 

Rédigé par Monique

Publié le 12 Janvier 2018

15 novembre 2017...

15 novembre 2017...

Je vous avais raconté son histoire et surtout, lancé un appel pour elle : qui pourrait l'accueillir et l'adopter ? 

J'avais alors contacté la seule personne, Adhérente de notre association, qui habite Marolles-en-Hurepoix pour lui demander un coup de main. Aurait-elle, parmi ses connaissances, une âme charitable qui prendrait cette petite misère ? 

 

Annick (c'est son prénom) qui est Membre depuis le mois d'avril 2007 n'a pas fait les choses à moitié. Elle s'est rendue sur place pour voir la minette... elle en a parlé à son mari (on en ferait des choses si les maris ne faisaient pas souvent obstacle). Il a accepté à une condition : c'est lui qui choisirait le nom de la chatte ! 

 

Le lendemain NINA arrivait dans sa nouvelle famille. Quelques jours plus tard, elle était présentée au vétérinaire qui s'occupe déjà des deux chats de la famille : Tests FeLV/FIV négatifs, traitement antiparasitaire... anti-puces (ce n'était pas du luxe). Les vaccins et l'identification suivraient à la prochaine visite déjà programmée. 

 

La semaine suivante, nous avons reçu des nouvelles fraîches et une photo de Nina, installée dans sa maison. 

Souvenez vous ... elle avait froid

<< Elle est installée presque en permanence sur le canapé.  Quand j'y suis elle est sur mes genoux . Elle recherche le contact humain; elle a besoin de caresses.

Sur la photo elle fait un peu illusion sur son volume. Elle est de petit format mais aussi plutôt maigre. Le taux de créatinine est mauvais et a donc révélé un problème rénal ( cela explique peut être son aspect malingre?) . 

Je lui donne une alimentation particulière. J'ai l'habitude ; un de mes autres chats a le même problème. Je pense comme lui que Nina aura un traitement médicamenteux . Je dois discuter de cela vendredi avec le vétérinaire.>>. 

 

Aujourd'hui, 12 janvier, les vœux d'Annick sont arrivés avec sa cotisation pour la nouvelle année, assortie d'un don généreux et des nouvelles de Nina : 

 

<<Ma 3ème "acquisition", n'est pas en grande forme : insuffisance rénale.  J'ai déjà un autre chat connaissant le même problème, je sais comment soigner !  D'autre part, elle est plus âgée qu'il n'y paraissait au premier abord, à mon avis elle a plus de 10 ans. C'est aussi l'avis de mon vétérinaire qui va la suivre au fil des années à venir.

 

Si elle n'avait pas été recueillie et soignée que lui serait-il arrivé ?>>

 

La réponse à cette question, nous ne la connaissons que trop bien, elle n'aurait sans doute pas survécu à l' hiver. 

 

Si Annick n'était pas une personne aussi généreuse, elle aurait ajouté quelque chose comme : 

 

"Merci pour le cadeau empoisonné, nous voilà avec une chatte âgée et malade, qui va nous causer bien des problèmes, sans parler des frais vétérinaires... "

 

Eh bien non, ce n'est pas ainsi qu'Annick termine son message. Elle écrit :

 

<<J'estime beaucoup les gens qui, comme vous, se dévouent à la cause des chats. >>

 

Et nous, que serions nous, que pourrions nous faire,  si nous ne recevions pas votre aide matérielle mais aussi une telle charge de sympathie et d'amitié ? 

 

MERCI ANNICK ! 

 

Ce même jour, il y avait une autre lettre au courrier, elle provient de Brigitte qui nous remercie, avec un don, de l'aide que nous lui avons apportée pour trouver des maîtres à la gentille chatte noire qui avait été abandonnée... 

 

C'est une bonne journée. 

Rédigé par Monique/Annick

Publié le 2 Janvier 2018

Un jour on pleure, un jour on rit

Quand on s'investit dans le domaine de la protection animale on s'expose à de gros chagrins et parfois, heureusement, à des petits bonheurs. 

 

Pour le premier jour de l'année, j'ai voulu vous raconter une histoire qui connaît une fin heureuse. Celle de Maéza. 

 

Je dois aujourd'hui vous en raconter une autre, une de celles qui font pleurer. 

 

Vendredi 22 décembre, au cours de sa tournée de nourrissage des chats du parc de Bligny, Marie-Dévote a rencontré un chat noir apparemment en mauvais état. Elle a bien essayé de l'attraper, sans succès. Deux jours plus tard, Michèle est partie à la recherche de ce chat qui devrait sans doute être conduit chez nos vétérinaires. Elle l'a vu mais n'a pas, non plus, réussi à le capturer. 

 

Jeudi 28, c'était au tour de David de distribuer la nourriture à nos chats. Cette fois, le pauvre animal est entré sans difficulté dans la trappe de capture que David avait pris soin de déposer au début de sa tournée. Ce soir là, en revenant d'une visite chez nos vétérinaires, j'ai découvert le chat, objet de toutes nos inquiétudes, dans ma chatterie où David était venu le déposer. 

Pauvre, pauvre chat dans un si piteux état !

Pauvre, pauvre chat dans un si piteux état !

Il était, comme tous les chats qui vivent à la rue, effrayé et plutôt agressif. J'aurais bien voulu examiner le côté droit de sa tête, là où le poil est collé, dissimulant peut-être une blessure. Il avait bien trop peur pour me laisser faire. 

 

Qui était-il ? Un nouvel arrivant ou un des chats noirs à poils longs capturés, stérilisés et identifiés ces dernières années ? En attachant le lecteur de puce électronique sur un baton, je m'assurai qu'il n'était pas identifié, du moins pas de cette façon là. S'il était tatoué, seul le vétérinaire pourrait nous le dire, une fois le chat endormi. 

Etait-ce Chanel, capturé le 25 janvier 2014 ?

Etait-ce Chanel, capturé le 25 janvier 2014 ?

Etamine ?

Etamine ?

Hirsute ?

Hirsute ?

Vendredi j'envoyai une photo de ce chat capturé à nos vétérinaires en leur disant mon inquiétude, nous étions si proche du long week-end du 1er janvier. Qui et quand quelqu'un pourrait-il s'occuper de lui ? 

 

En fin d'après-midi je le conduisis à la clinique, soulagée de n'avoir pas à attendre mardi matin. 

 

Samedi, le Docteur Thibault avait pu l'identifier, c'était bien Chanel dont l'âge avait été estimé à cinq ou six ans quand il avait été stérilisé en 2014. 

 

Même s'ils disposent d'un abri et qu'ils reçoivent régulièrement une nourriture de qualité, les années passées dehors comptent double pour ces chats... Le vétérinaire m'affirma qu'il n'y avait aucun espoir de le sauver et que la seule chose à faire pour lui, c'était de lui éviter de se réveiller de son anesthésie.

 

Pauvre Chanel qu'il avait fallu sortir de sa cage à l'aide d'un lasso, aurait été impossible à soigner même si les résultats des analyses et des examen n'avaient pas été aussi catastrophiques. 

 

Il est toujours très difficile de prendre la décision de mettre fin à une vie, fut-elle celle d'un chat que l'on connaît à peine. C'est une grande chance de pouvoir faire confiance à une formidable équipe vétérinaire que nous ne remercierons jamais assez pour leur soutien indéfectible.

 

CHANEL a rejoint le paradis des chats. 

 

 

Un jour on pleure, un jour on rit

Rédigé par Monique

Publié le 1 Janvier 2018

MAÉZA, la drôle d'histoire

Samedi 16 septembre, la SACPA (fourrière départementale) nous informe qu'une chatte nous appartenant vient d'entrer dans ses locaux en provenance de Breuillet. 

 

Son numéro de tatouage me permet de retracer rapidement son histoire : elle avait été stérilisée et tatouée au mois de juillet 2005 à la demande d'une famille de cette même ville, afin qu'elle et trois autres chattes ne donnent pas naissance à une multitude de petits malheureux. 

 

La famille qui avait fait appel à notre association s'était engagée à fournir le gîte et le couvert à ces quatre chattes. 

 

Forte de ce renseignement, je rappelais la SACPA pour savoir dans quel secteur, Maéza avait été trouvée. Quelle ne fut pas ma surprise de m'entendre dire que l'appel signalant cet animal errant, provenait ...  de la maison voisine ! 

 

J'ai voulu comprendre ... et me suis rendue sur place. Les jolies maisons sont construites dans un paysage de verdure, elles sont entourées, chacune d'un jardin. Tout est paisible. La jeune fille de la famille, que nous appellerons Dubois, qui avait fait appel à nous s'étonne de mon récit. Elle n'avait pas remarqué l'absence de la chatte .

 

Quand je lui dit qui était à l'origine de l'entrée en fourrière de Maéza, elle fit un commentaire très sévère sur les voisins, que nous désignerons par la famille Dufer. Elle m'apprit qu'ils avaient déjà volé Amélia, une autre des quatre chattes opérées des années plus tôt. 

 

Y aurait-il dans cet agréable environnement des gentils et des méchants qui voleraient des chats ou les enverraient en fourrière ? Pour essayer d'en savoir plus j'allai sonner au portail voisin. Sans résultat. 

 

Pendant le week-end j'eus d'autres contacts avec la famille Dubois. Dès lundi matin j'irai récupérer Maéza à la fourrière puisque notre association en est toujours propriétaire et je la restituerai à la famille et au territoire qu'elle connaît si bien. .

 

 

MAÉZA, la drôle d'histoire

Le court séjour qu'elle fit à la SACPA ne lui fut pas bénéfique. Ses yeux et son nez coulaient, elle restait terrée au fond de la cage de transport. Il n'était pas question de la relâcher sans me soucier du sort qui lui serait réservé. Non, Maéza ne pourrait être accueillie dans la maison car elle n'y disposait pas d'un bac à litière ... elle avait plutôt ses habitudes à l'extérieur. 

 

Au portail voisin j'eus plus de succès que deux jours auparavant. Il est toujours intéressant d'entendre deux versions d'une même histoire... La chatte noire et blanche que nous appelions Amélia, avait-elle vraiment été volée ? 

 

Sans avoir de grandes connaissances en matière de chats, le couple Dufer avait remarqué que la chatte qui s'installait de plus en plus souvent sur un rebord de fenêtre, n'allait pas bien. Ils décidèrent de consulter un vétérinaire qui fut incapable de déchiffrer le tatouage déjà ancien tracé dans cette oreille noire.  Le bilan sanguin révéla un état général préoccupant et surtout une sévère insuffisance rénale. Il faudrait à la malade un suivi médical, des soins, une prise régulière de médicament et une alimentation adaptée à son problème majeur. 

 

Ce jour là, la chatte inconnue fut identifiée au nom de la famille qui venait de s'engager à prendre soin d'elle et devint Mimie. Oui mais... pourquoi avoir mis la vie de Maéza en danger en l'envoyant en fourrière ? 

 

Monsieur et Madame Toulemonde ne connaissent pas grand chose au fonctionnement des fourrières. Si l'animal qui y entre n'est pas réclamé par son propriétaire (encore faut-il pouvoir lire un tatouage ancien), il est proposé à des associations qui gèrent un refuge. Mais lesdites associations se chargent plus volontiers des animaux jeunes qu'elles pourront facilement faire adopter que des animaux pas très sociables et visiblement âgés.  

 

Ce que la famille Dufer avait vu, c'était une chatte plutôt agressive qui entrait chez eux pour tabasser Mimie et lui voler sa nourriture. Le policier municipal leur avait affirmé que la SACPA la confierait à une famille si aucun propriétaire n'était retrouvé... 

 

Sans l'ombre d'un doute mon interlocuteur fut stupéfait d'apprendre que la coupable d'agression et de vol de nourriture était établie sur ce territoire depuis de nombreuses années ! Il m'apprit que depuis peu ses voisins avaient accueilli un chien assez remuant qui devait faire peur à Maéza. C'était peut-être l'explication de sa tentative de s'incruster ailleurs... 

 

Dans l'immédiat, Maéza serait accueillie chez moi pour y recevoir des soins. 

19 septembre... Maéza se repose, elle refuse toute nourriture, rendez-vous est pris chez notre vétérinaire

19 septembre... Maéza se repose, elle refuse toute nourriture, rendez-vous est pris chez notre vétérinaire

21 Septembre : check-up complet : prise de sang/Numération Formule/ T4 / biochimie/paramètre/ Test FeLV + FIV (négatifs) / injection de dexazone + tolfédine + shotapen... achat de Meloxoral pour la suite à domicile... Bref, les résultats étaient plutôt encourageants. En dépit de ses quelque treize ans, notre Maéza devrait rapidement retrouver la santé, une fois débarrassée du coryza. 

 

Pendant une semaine, elle eut droit à deux séances journalières d'aérosol pour l'aider à respirer. Elle avala sans broncher son médicament et toute la nourriture "Recovery" dont je la gavai à l'aide d'une seringue. La famille Dufer qui prenait de ses nouvelles suggéra que la cause de son anorexie était peut-être l'enfermement auquel elle était si peu habituée. 

 

2 octobre, elle est sortie de sa cage pour se jeter sur les croquettes ... Victoire, elle mange !!

2 octobre, elle est sortie de sa cage pour se jeter sur les croquettes ... Victoire, elle mange !!

Très rapidement j'eus le loisir d'imaginer comment elle avait pu agresser Mimie pour voler sa nourriture.  Dans la chatterie, dès que je déposais les différents plateaux d'aliments variés, notre Maéza se ruait hors de sa cage et distribuait des coups de pattes aux résidents habituels qui devaient attendre, pour manger, qu'elle ait terminé son repas et regagné sa cage. Son enfermement ne lui coupait pas l'appétit et elle ne manifestait aucune envie de sortir. 

 

Octobre... les mauvais jours allaient arriver... je ne m'imaginais pas rendre Maéza à sa vie de chatte "libre"... Comme d'autres avant elle, elle viendrait grossir la famille des chats de notre association hébergés chez moi. 

 

8 octobre, la mauvaise nouvelle arriva en provenance de la famille Dufer 

<<Madame,

 Excusez notre silence (faute de temps), nous espérons que Maéza va mieux et qu'elle s'est complètement rétablie de ses émotions.

 En revanche, nous avons une nouvelle très triste puisque Mimie (ex Amélia) nous a quittés hier.

 C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons du nous résoudre à prendre la décision de mettre fin à ses souffrances !!!

 Il faut avouer que son absence engendre un grand vide.  Nous nous consolons un peu en nous disant que nous l'avons accompagnée au mieux jusqu'à la fin.  

 Je dois reconnaître personnellement, moi qui n'étais pas très attirée par les chats, qu'elle m'aura laissé un très bon souvenir (émouvant) accompagné d'une autre vision des chats.

 Une sacrée leçon de vie au bout de ces quelques mois.

 Il reste à espérer que Maéza va pouvoir reprendre une vie plus calme après toutes ces perturbations malheureuses.

 Avec nos cordiales salutations>>

 

Après quelques mails échangés et une visite à Maéza, je compris que les "voleurs de chats" étaient prêts à faire un essai avec elle. Allait-elle se plaire chez eux ? Comment allait-elle se comporter ? .... Bref, le 11 novembre, ils viendraient la chercher et signeraient un Contrat d'Adoption en bonne et due forme. Bien sûr, ce contrat pourrait être annulé si, par extraordinaire, quelque chose n'allait pas... Quand ils sont partis avec la chatte, je n'ai pas douté un instant de la réussite de cette adoption. 

 

Quelques jours auparavant j'avais reçu les photos d'un abri  que "Jack" avait préparé pour les jours de sortie de Maéza, ... 

MAÉZA, la drôle d'histoire

14 novembre, les premières nouvelles arrivent ... 

 

<< Maéza s'installe dans son nouvel environnement. Elle a commencé par se cacher sous les meubles et ne sortir que pour manger.

 Elle a trouvé rapidement son coin repas et sa litière.

 Après presque 24 H, elle a commencé à prendre de la hauteur et se mettre sur le socle de l'arbre à chat (plus moelleux) pour enfin adopter les paniers et coussins (encore plus moelleux) ;-))

 Nous la retrouvons avec son bon appétit et cela change de Mimie !!

 Elle est très curieuse et observatrice. Pour le moment l'intégration se passe plutôt bien. (...) >>

MAÉZA, la drôle d'histoire
MAÉZA, la drôle d'histoire

28 novembre ...La suite des aventures de la bête... 

 

<< (...) Maintenant, il faut que je vous raconte nos frayeurs de la semaine passée. Comme il faisait beau mercredi dernier (soleil et température agréable) mon mari a décidé d'aller travailler dehors et nous étions convenus d'essayer de mettre Maéza dehors.

 Donc il la prend avec lui devant la maison et en l'espace de quelques minutes elle est partie comme une fusée. Elle a passé le portail, traversé l'impasse pour aller dans les champs, de l'autre côté du chemin.

 Le soir elle n'était pas rentrée. Jeudi se passe et toujours pas d'apparition de Maéza malgré nos appels et nos tentatives à la chercher dans le lotissement.

 Nous avions laissé sa gamelle avec des croquettes devant la porte. Pas de visite !!!

 Vous imaginez notre inquiétude. Nous envisagions alors de nombreuses hypothèses les unes plus catastrophiques que les autres. Vendredi toujours pas de retour de Maéza mais en fin d'après-midi on a constaté que la gamelle était vide, était-ce elle qui avait mangé ? Rien ne le prouvait.

 Finalement, elle a réapparu vendredi soir vers 20H. J'entends du bruit devant la porte et je regarde. Maéza miaulait et a bien voulu rentrer.

OUFFF !! enfin je crois que nous avons passé le "baptême".

De plus, elle sait bien ce qu'elle veut. Elle est vraiment gentille et sage. Juste il faut bien se défouler un peu de temps à autre.>>

23 décembre... les toutes dernières nouvelles ... 

<<Nous avons bien reçu votre courrier accompagné d'une très gentille carte qui nous a beaucoup touchés.

 Je voulais trouver une carte avec des chats pour vous présenter nos voeux de nouvelle année et finalement c'est encore une photo de Maéza que vous allez recevoir. Comme vous pourrez constater, elle est toujours aussi malheureuse dans sa nouvelle vie !!!

MAÉZA, la drôle d'histoire

<< (...) Maéza est en effet très attachante et prend de plus en plus de libertés. Elle occupe bien l'espace, elle joue. Elle a ses quarts d'heure de défoulement !! Elle reste cependant assez craintive. Elle se cache assez facilement quand quelque chose de nouveau se passe.

 Elle est très curieuse et observatrice !!

 Avec le temps elle devrait arriver à se familiariser, je pense. Son comportement laisse à penser qu'elle n'a pas dû être beaucoup dans une maison.

Le seul point qui reste un peu compliqué est que nous n'avons pas encore réussi à lui faire adopter un des deux griffoirs à sa disposition. Alors elle fait ses griffes là où il n'est pas souhaitable comme le canapé et son pouf qu'elle a crevé.

 Nous ne comprenons pas pourquoi.>>

Epilogue :

Pour être gentille et rassurer ces généreuses personnes, je vais leur dire qu'elle va finir par s'habituer au griffoir ... je n'ajouterai pas une photo de mon fauteuil, celui de mon bureau, ni du canapé club que j'ai recouvert d'un joli boutis pour cacher la misère ! 

 

BON, Bonne et heureuse Année avec votre jolie chatte et merci pour lui avoir donné une vraie famille.  

Rédigé par Monique/Pascale

Publié le 1 Janvier 2018

Que cette année vous soit douce...

.... qu'elle vous apporte beaucoup de bonheur et qu'elle préserve tous ceux qui portent un regard compatissant et participent au sauvetage des chats laissés pour compte, ceux qui n'ont pas eu la chance de naître dans un doux foyer ou qui n'ont pas été adoptés par une famille aimante. 

Rédigé par Monique